Tout commence avec un J’accuse collectif. Celui du tribunal permanent des peuples de 2018, dont l’acte d’accusation reprend les manquements des pays européens vis-à-vis des droits fondamentaux des personnes exilées.

Tout commence avec un J’accuse collectif. Celui du tribunal permanent des peuples de 2018, dont l’acte d’accusation reprend les manquements des pays européens vis-à-vis des droits fondamentaux des personnes exilées.
Tom Na Fazenda donne envie de crier et de se révolter, dans un corps à corps déchaîné dont personne ne sort indemne.
Nous avons chacun.e notre propre rapport à l’avenir : optimiste, angoissé, fantasmé, rêveur, inquiet, cartésien… Et au fil de la vie, nous passons de l’un à l’autre selon l’âge ou les expériences vécues ou selon ce que notre entourage nous renvoie de nous. Enfant, nous entendons « et alors, tu veux faire quoi comme métier […]
Des mélodies familières et des paroles débordant d’une sincérité qui ne peut laisser indifférent.e, blond se dévoile à travers ses chansons douces aux accords de guitare entraînants, réchauffant les cœurs des festivalier.ères d’une voix, celle d’un ange ou bien d’une sirène, qui nous promet que tout ira bien.
Les nuages sont menaçants ce vendredi soir avant d’entrer au TNB pour la carte blanche de Catastrophe. L’orage ce soir, il sera dans le ciel et place Sainte-Anne, où le commissariat brûlera sous les vents des fumées asphyxiantes. Une agitation insouciante, un souffle d’espoir, qui respirera jusqu’au travers des portes de la salle Villard…